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Serges Ntougou  : «Camélia Ntoutoume  Leclercq : l’aura politique qui dérange !»

le coup de coeur

Dans un passé récent, à la suite de sa brillante démonstration de force lors de la tournée du président du Parti démocratique gabonais (PDG) dans la commune de Ntoum, Madame Camélia Ntoutoume Leclercq n’a cessé d’alimenter positivement les réseaux sociaux, illustrant ainsi son incontestable maîtrise de la mobilisation et de l’organisation de grandes manifestations.

Comme le veut l’adage : « Les médiocres recourent systématiquement au déni, à la critique, aux accusations, voire à la désinformation, dans leur volonté de nuire à ceux dont la lumière les éclaire un peu trop brillamment. »

Dans une démarche empreinte d’incohérence, nous assistons ces derniers jours sur des postes avilissants, dégradants, tentant de porter atteinte à la dignité de Madame la Ministre d’État, en charge de l’Éducation Nationale via un chef d’établissement dont on impute des insultes et insinuations frisant le manque d’éthique et de responsabilité qui conduirait ce dernier dans une manœuvre orchestrée pour le déplacement d’un électorat à sa guise vers une commune sœur de Libreville.

Camelia Ntoutoume Leclercq, Ministre d’État, en charge de l’Éducation Nationale.

Quelle est donc la teneur réelle de cet amas d’allégations fallacieuses dont est indirectement victime Madame la Ministre de l’Éducation Nationale, par l’intermédiaire du proviseur du Lycée Technique Omar Bongo dont le seul grand péché est d’avoir le même nom que le Ministre d’Etat ? Nous voilà donc de plein pieds dans un procès dû au fait du patronyme.Il convient de replacer cette situation dans son contexte.

En effet, sous un vent électoral basé sur les plans d’actions, de machineries, de manœuvres ostentatoires malveillantes des uns et des autres futurs candidats et adversaires du scrutin, il n’est pas rare de voir et de lire des articles qui vont dans le sens de la diffamation, des aprioris et même des préjugés dont le proviseur du lycée technique se trouve être le bouc émissaire parfait dans le but de porter atteinte à la réussite politique d’une Citoyenne dévouée de sa commune : Mme Camélia Ntoutoume Leclercq. 

C’est avec un profond regret que nous constatons l’acharnement de certains acteurs politiques en manque de visibilité et en quête de notoriété, qui ciblent cette femme d’État au parcours irréprochable et élogieux dans une tentative désespérée d’exister dans l’arène politique.

Force est de constater que Madame Camélia Ntoutoume Leclercq et le ministère qu’elle dirige avec maestria sont incontestablement « la marque déposée » qu’il faut absolument attaquer, ternir, galvauder, avilir, dénaturer, et compromettre, pour se faire remarquer et attirer l’attention. Comment peut-on raisonnablement imaginer qu’un enseignant certifié, de surcroît Proviseur, animé par un sens aigu de l’éthique et de la déontologie, puisse envisager un instant de compromettre son intégrité en conditionnant un passage fallacieux en classe supérieure par une inscription sur les listes électorales dans la commune de Ntoum ? Comment tolérer que les élèves du Lycée Technique, futurs cadres de notre Nation, soient ainsi réduits au rang de simples « marchandises » électorales?

Comment peut-on décemment réduire les nombreuses réussites professionnelles et politiques de Madame Camélia Ntoutoume Leclercq au substratum impliquant un chef d’établissement, fut-il celui du prestigieux Lycée Technique Omar Bongo ? À tout prendre, si certains aigris républicains continuent à tout vent de chercher à ternir l’image de ce Proviseur en l’associant d’ailleurs à celle de Dame Camélia Ntoutoume Leclercq, prétextant que « l’école n’est pas un marché de voix », « l’élève n’est pas une fiche d’électeur » et que « l’autorité éducative n’a pas vocation à servir les ambitions politiques ». À ce sophiste déguisé auteur de ce poste rempli d’infamies et surtout écrit au conditionnel, nous lui disons qu’il a fait un hors sujet parfait digne d’un écrivassier néophyte.

Restons un temps soit peu en politique pour que nul n’en ignore. En s’appuyant sur la nouvelle loi organique N°001/2025 du 19/01/2025 portant code électoral en République Gabonaise paru au journal officiel N°51 du 22 janvier 2025 dans son chapitre 2, article 58 et dans le chapitre 5, article 38.  Ici il est question de la liberté de chaque individu d’exercer son droit de vote en toute liberté une fois l’âge de 18 ans atteint. Il est donc utile de rappeler que bien qu’étant élèves, ce sont d’abord des citoyens qu’un simple proviseur d’ailleurs en période de convalescence d’une part et de vacances d’autre part, ne peut obliger de le suivre  politiquement. Les propos visant le proviseur sur ce point sont donc grotesques, et aberrants.

À toute fin utile, rappelons que ce chef d’établissement a subi plusieurs cabales. La dernière en date jetait en pâture ce citoyen en vindicte populaire le traitant de voleur de bétails de la ferme de Ntoum au profit de Dame Camélia Ntoutoume Leclercq.Par analogie, on constate donc clairement que vous êtes à court d’arguments car vous savez qu’elle peut et va vous broyer politiquement. C’est une dame de fer. Elle parle plusieurs langues du Gabon parce qu’elle est issue de plusieurs ethnies et clans de notre territoire. Nul besoin pour elle d’avoir recours à l’enfarinage d’autant plus que ce n’est pas une vendeuse d’illusions. Avec elle, c’est le terrain rien que le terrain.  Une fois encore, votre initiative de dénigrement opportuniste, fondée sur des hérésies, des contrevérités manifestes et alimentée par une haine politique tenace à l’égard d’une fille émérite de Ntoum ne prospérera pas.

Partant de cette énième tentative de déstabilisation, tout en remarquant que certains refusent de « Fumer le calumet de la paix » pour enfin se concentrer sur leur propre élection dans leurs circonscriptions respectives, La Jeunesse Montante du Komo-Mondah, après avoir identifié les instigateurs de ces attaques, se tient prête à réagir avec fermeté afin non seulement de vous empêcher de nuire, mais aussi pour vous mettre hors d’état de nuire.

Serges Ntougou  

Secrétaire Général du mouvement la Jeunesse Montante du  Komo-Mondah

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