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Parti démocratique gabonais : Denise Mekam’ne n’a pas démissionné

le coup de coeur

La récente vague de démissions au sein du Parti démocratique gabonais (PDG) dans la province du Woleu-Ntem a suscité des spéculations quant à une possible cascade de départs dans d’autres régions. Parmi les figures évoquées, Denise Mekam’ne Edzidzie ep Taty, ancienne ministre, aurait été la première à quitter le navire dans la province du Moyen-Ogooué. Les réseaux sociaux ont largement relayé cette information, amplifiant les rumeurs autour de la stabilité du parti.

Cependant, il s’avère que la situation de Denise Mekam’ne n’est pas ce qu’il paraît. En effet, après vérification, elle n’a pas quitté le PDG, mais a seulement renoncé à son poste de secrétaire générale adjointe pour revenir à un statut de simple militante. Cette rumeur met en lumière une dynamique interne au parti, où les stratégies personnelles semblent peser lourdement sur les décisions politiques.

Vers une recomposition politique ?

Les récentes restructurations révèlent un besoin urgent de réévaluation des priorités au sein du PDG. La stratégie d’adaptation devient impérative pour survivre dans un environnement politique dominé par une instabilité croissante. Les rumeurs de démissions, même lorsqu’elles ne sont pas fondées, illustrent une atmosphère de méfiance et de remise en question qui pourrait miner les fondements du parti.

Face à cette crise, il est essentiel pour les dirigeants restants de redoubler d’efforts pour restaurer la confiance parmi ses membres et s’engager dans un dialogue ouvert sur l’avenir du PDG. La capacité du parti à s’adapter à ces nouvelles réalités politiques déterminera non seulement sa survie à court terme mais aussi son rôle dans l’échiquier politique gabonais à long terme.

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