Le Dialogue national inclusif entame une phase cruciale ce vendredi 5 avril, marquant un tournant déterminant pour l’avenir du dialogue politique dans le pays. Le bureau du Dialogue national inclusif, dans un élan de préparation désormais minutieuse, se consacre à la formation des présidents, rapporteurs et secrétaires des commissions et sous-commissions. Cette initiative vise à assurer que les discussions à venir se déroulent dans les meilleures conditions possibles, avec un niveau de professionnalisme et d’efficacité qui sied à l’importance de l’événement.
L’anticipation se fait sentir à l’approche de la première plénière prévue pour ce samedi 5 avril. L’ampleur de la mobilisation est sans précédent : plus de 600 commissaires, d’éminents invités, ainsi que la presse nationale et internationale, sont attendus pour assister à cet événement, souligne le porte-parole du bureau Jean Bernard Asseko Mve. L’intérêt manifeste pour cette première session témoigne de l’importance de l’initiative en tant que forum d’échange et de décision pour l’avenir du pays.
À partir du lundi 8 avril, les travaux du Dialogue national inclusif prendront officiellement leur envol. Ce processus représente une opportunité inédite pour les divers acteurs politiques et sociaux du pays de collaborer dans la recherche de solutions concrètes et durables aux défis qui se dressent devant la nation. L’objectif est clair : forger un consensus fort qui servira de fondation à la construction d’une vision commune pour l’avenir.
Selon le porte-parole, Monseigneur Jean Bernard Asseko Mve, cette démarche est le reflet d’une volonté profonde de renouvellement et de progrès. La formation préliminaire des cadres impliqués dans le dialogue est un gage de sérieux et de l’engagement de tous les participants. La nation se tient à l’aube d’un moment potentiellement transformateur, où le dialogue productif pourrait bien être la clé de voûte d’un avenir prometteur et harmonieux pour tous. Pourvu que les esprits du régime déchu ne refassent pas surface.
