Un frisson d’horreur a parcouru la petite ville de Makokou, dans la province de l’Ogooué-Ivindo, alors qu’un jeune tenancier de bar a été la cible d’une agression brutale pour avoir simplement respecté le couvre-feu en vigueur. Les rues paisibles de la ville se sont transformées en théâtre de l’horreur alors que deux individus non identifiés se sont attaqués au propriétaire de l’établissement, le laissant ensanglanté après l’avoir poignardé.
La scène macabre s’est déroulée ce week-end, lorsque la victime, motivée par le désir de se conformer aux mesures imposées par le Comité pour la transition et la restauration des Institutions (CTRI), a décidé de fermer les portes de son bar avant l’heure fatidique du couvre-feu. Cependant, au moment de respecter son engagement envers la sécurité publique, deux clients en état d’ébriété ont manifesté envers le tenancier du bar leur mécontentement par des actes de violence d’une cruauté inexcusable.
Malgré les efforts désespérés du tenancier pour apaiser la situation et protéger ses clients, les agresseurs ont choisi la voie de la barbarie, laissant derrière eux un bain de sang et une communauté sous le choc. Heureusement, les premiers secours ont été administrés à la victime, dont l’état, bien que grave, n’inspire pas d’inquiétude quant à sa survie.
Alors que Makokou tente de se remettre de ce terrible événement, les autorités ont ouvert une enquête pour traquer les coupables et leur faire rendre des comptes. Il est impératif que des mesures soient prises pour assurer la sécurité de tous les citoyens et prévenir de futurs actes de violence aussi tragiques. La justice doit être rendue pour ramener la paix et la tranquillité dans cette ville autrefois paisible, désormais marquée par l’ombre sinistre de la violence nocturne.